J'ai modelé cette image de la maternité sans penser particulièrement au grand Zadkine. Après coup, il m'est apparu qu'elle résume ce que j'admire chez lui : le jeu subtil des parties saillantes et des parties creuses, le tout dans le rythme syncopé d'un langage cubiste mais s'ouvrant parfois au désir de se laisser aller au récit, ou de suggérer le charme des formes féminines. Je lui suis redevable de cet hommage.
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